« Cette année, on a des pruneaux de gros calibre et bien sucrés. Le sucre est important, car sinon ils ne valent rien », explique Marc de Lavenère, qui tenait l’entreprise de ses parents et l’a transmise à son fils. Ouvriers qualifiés au verger Du verger au produit fini, le rapport en terme de poids est d’un tiers. 250 à 300 tonnes de prunes sont ramassées durant trois semaines, et donneront donc 80 tonnes environ de pruneaux cuits Le travail commence au verger, et là, l’entreprise a recruté un mécanicien diplômé pour piloter la corolle. Cette machine, actionnée par le tracteur, est une sorte de parapluie renversé qui vient entourer le prunier et le secouer pour faire tomber les fruits.